

Quem não se lembra de "Blow-Up", (1966) ?

2. Persona (1966)
3. La honte (1968). Liv Ullmann conta um sonho: "J'ai fait un rêve. Je parcourais une rue très jolie. D'un côté, il y avait une maison blanche, avec des colonnes. De l'autre, un parc ombragé. Et sous les arbres bordant la rue, coulait une source vert sombre. Puis j'atteignais un haut mur, tout recouvert de roses. Alors un avion a incendié les rosiers. Ce n'était pas terrible parce que c'était beau. Je regardais se refléter dans l'eau les roses qui brûlaient. Je tenais un bébé dans les bras. C'était notre fille. Elle s'agrippait à moi ... Je sentais ses lèvres sur ma joue. Et tous ce temps je songeais que je devais me rappeler quelque chose ... mais j'ai oublié quoi."
E aí, Liv Ullmann acabava de pronunciar as suas últimas palavras e fecha os olhos. E a escuridão aparece.
O filme pára, a sala ilumina-se, os espectadores permanecem sentados, silenciosos e assomados. Era o efeito Bergman: levar-nos à deriva numa história, e no fim, entregar-nos à realidade crua, face às nossas pequenas cobardias quotidianas.
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